• Psychologie positive

     

    Psychologie positive

     

    ''Le bonheur c’est prendre conscience que tout va bien !! « Christophe André »''

     

     

    La vie nous veut du bien mais elle ne nous laissera pas faire continuellement les mêmes erreurs… Et c’est tant mieux !

    En effet, nous sommes ici pour être heureux, c’est ainsi, et c’est également notre chemin. L’ère du « métro/boulot/dodo » sans mettre de sens est révolue.

    Même si certaines personnes s’y accrochent encore, la petite vie pépère sans trop de conscience, et sans nécessairement de bonheur, c’est de l’histoire ancienne !

    Notre bonheur dépend de nous et de notre envie de nous trouver, de faire ce pour quoi nous sommes fait, de nous épanouir dans notre vie de tous les jours et, le plus important de tout, d’y croire…

     

    Notre bonheur dépend de notre vision du monde

    Une des principales sources de notre bonheur provient de notre capacité à considérer la vie comme belle plutôt que de la considérer comme dure et/ou compliquée voir dangereuse.

    C’est l’histoire, bien connue de tous, du verre à moitié plein ou à moitié vide…. Face à une même situation, Psychologie positivecertains y verront le côté positif (moitié plein), tandis que d’autres auront tendance à voir ce qui ne va pas ! (moitié vide).

    Ce qui est remarquable également, c’est que les personnes ayant l’habitude de voir le coté positif des situations vivent plus de situations positives et sont plus heureuses. Alors que les situations négatives ont tendance à « s’acharner » sur les gens de nature négative, ce qui leur donne d’ailleurs de bonnes raisons pour se méfier et continuer à voir ce qui ne va pas… ! Intéressant non ;-)… !!

    En fait, une situation n’est jamais « positive » ou « négative » en elle-même. C’est une situation, avec des caractéristiques, point. Et le reste, c’est nous-même qui allons le créer.

    C’est-à-dire que si, de notre point de vue, ce qui nous arrive est négatif, alors nous allons l’étiqueter « situation négative » et que si, ce qui nous arrive, est connoté plutôt positif, alors nous dirons que nous vivons des choses positives.

    Et ce, quelque soit la situation, aussi grave soit elle. C’est ce que l’on appelle des « filtres de personnalité ». C’est-à-dire qu’en fonction de nos croyances, de nos visions du monde, de nos expériences, de notre éducation, nous avons une idée des choses et une normalisation de celle-ci. Cette norme, qui n’appartient qu’à nous, est très subjective et dicte ce qui est positif et ce qui est négatif.

    Par exemple, si une chose de très grave vous arrive, il est normal d’en être affecté.

     

    Mais, il est de notre choix de considérer :

    1. Qu’à cause de cet évènement notre vie tout entière est dorénavant foutue et que plus rien de bon ne pourra plus jamais nous arriver et que notre vie dans son intégralité est à jamais anéantie, tous domaines confondus…

           Ou…

    1. D’accepter la situation puisqu’elle est de toute façon là, même si c’est dur. De l’accueillir comme une expérience parmi d’autres expériences. De continuer à mettre en place dans sa vie, en incluant cet évènement, tout ce qui est nécessaire à son propre bonheur.

     

    Ce n’est pas nier quoi que ce soit ou tenter de fuir quelque situation que ce soit. C’est être présent à ce qui est en prenant une place d’observateur et de constater « ce que cela me fait ». En connaissance de cause, ma vie pour autant continue et je mets en place ce qui est bon pour moi dans celle-ci.

    Il ne s’agit pas non plus de « sur-positiver », nier la problématique évidente de la situation est tout aussi dangereux que de s’effondrer avec la situation. Lorsque nous sommes présent à nous-même, cela ne nous arrive pas.

    Comprenez que lorsqu’un évènement se produit, il appartient dès lors au passé, puisqu’il s’est déjà produit. Il n’est plus dans le présent puisqu’il est déjà arrivé il y a quelques minutes ou heures et n’appartient pas au futur non plus. C’est donc du passé et, l’action sur une chose passée ou déjà arrivée est impossible ! Tout ce qui est possible avec le passé, c’est de le ruminer et de vivre avec. La seule et unique conséquence de cet acte est de « passer à côté » de son présent et de répéter dans son présent cette mémoire du passé. Autant dire que le bonheur n’est absolument pas dans cette direction.

     

    ''C’est facile à dire et pourtant, parfois bien compliqué à faire. En effet, pour pouvoir faire cet exercice, il faut être capable d’accueillir et d’accepter ce qui « est ». C’est-à-dire de reconnaître émotionnellement ce que cela nous fait, pour pouvoir faire la paix avec cette situation passée. Énormément de personnes ne savent pas reconnaître leurs émotions et ont peur de les ressentir. Ainsi, il reste en surface, ne creusent pas cette émotion. La situation n’est donc pas accueillie et ils restent avec… Il n’y a pas de fin…. !''

     

    La solution est donc de se faire accompagner dans le ressenti (à défaut d’y arriver seul), pour faire la paix avec lui, pour l’aimer en tant que tel, sans jugement. Une fois fait, il n’y a plus de résistance et vous pouvez construire…

    La « psychologie positive » base toutes ses recherches sur ce concept de vision de la vie et démontre scientifiquement que le bonheur est plus présent chez les personnes « choisissant » d’arrêter de se positionner en tant que victime et qui décident de regarder la vie du bon œil.

      

    Le choix de décider d’être heureux.

    Pourquoi passer son temps à râler et à chercher ce qui ne fonctionne pas ?! A quoi cela sert-il ? Tout ne fonctionne pas toujours, c’est vrai… Et alors ?! En quoi est-ce un problème ? Allez-vous en mourir ? Cela va-t-il générer la fin du monde ? Bien-sûr que non ! Alors, à quoi bon se mettre dans des états pas possibles et à quoi bon se faire tant de mal en générant en soi des états internes si négatifs ?

    A rien !! Pourquoi ? Et bien parce que après avoir fait notre « petite (ou grande) crise », nous finissons toujours par nous rendre compte que nous ne pouvons rien faire face à cette situation (elle est passée, ce qui est arrivé est arrivé, personne n’a de machine à voyager dans le temps !). C’est donc ainsi. POINT.

     

    ‘’S’accrocher à un évènement passé est donc vain et TOTALEMENT inutile !’’

     

    Ce n’est pas de la résignation et l’idée n’est pas non plus de baisser les bras. L’idée est d’être honnête avec la situation, avec ce qui « est », tout simplement. Sinon c’est de l’illusion, du leurre, du mensonge envers soi-même.

    Une fois fait, notre vie peut se réorganiser, car on ne peut pas construire dans le passé. Une chose en remplace une autre, et on recompose avec la nouvelle situation. Ce mécanisme est là tout le temps et nous le faisons en permanence. Nous passons notre temps à gérer des événements et à nous réorganiser. Nous prenons pour ce faire, 5 000 décisions par jours ! (Source neuroscience / Pierre MOORKENS)

    Alors que la majorité de ces réorganisations sont indolores, certaines se traduisent par des douleurs inhumaines.

    Quoi qu’il en soit, nous finissons toujours par repartir depuis cette nouvelle base. Nous pouvons même constater que ce changement, à propulser un nouveau potentiel non disponible avant cet évènement. Il est facile d’affirmer que sans cet évènement, nous ne serions pas la personne que nous sommes à ce jour.

     

    ‘’Nous avons tous vécus ces expériences plus ou moins simples qui font de nous ce que nous sommes aujourd’hui ! C’est un fait !’’

     

    Psychologie positive

     

    Alors pourquoi vouloir à tout prix figer les choses et pourquoi ne pas accepter, tout simplement, les changements avec plaisir puisqu’en définitif, ils contribuent à notre croissance et donc à notre bonheur ?

    Avez-vous vu le film « Yes Man ! » Il est une belle illustration de ce principe d’acceptation de ce que la vie nous propose. 

    Ce qui génère les crises et les douleurs ne sont pas les évènements mais bien la résistance au changement que nous opposons à cet évènement. Si nous étions capables de faire confiance et d’accueillir ce qui « est » sans vouloir à tout prix toujours vouloir tout contrôler, nous ne vivrions tout simplement pas de crise !!

    Cette partie de nous qui résiste s’appelle notre « égo ». C’est l’idée (fausse bien-sûr) de ce que va donner l’évènement. C’est une projection mentale de nos peurs liées à cet évènement. Il se trouve justement que ce sont ces croyances ancrées qui font arriver ces choses. C’est le principe de la loi d’attraction. Plus nous sommes convaincus que ça va mal se passer ; et plus ça se passe mal !!

     

    ‘’Pour changer cette réalité négative, il « suffit » de changer son point de vue sur cette situation. En sommes, apprendre à regarder le verre plein et non vide !’’

     

    Notre égo ne comprend pas ce concept et ne le comprendra jamais car il n’est pas fait pour ça. Sachez seulement que ce qu’il vous raconte dans ces moments-là n’est pas fondé. Ce sont des projections, la peur de l’inconnu…. Lui seul pense avoir le contrôle, ne vous prenez pas pour lui. Il nous faut fonctionner avec nos 4 plans de conscience.

    Il y a du bon dans ce que nous vivons, ce n’est pas le fruit du hasard. C’est un choix de notre part de considérer ces expériences comme des moyens de grandir et de se rendre compte de ce que nous n’avions pas encore vu à ce jour !

     

    ‘’Ces expériences, ces évènements sont des opportunités de croissance qui nous permettre de nous ajuster sur notre chemin personnel et ainsi être plus heureux(se)’’

     

     

    Avoir une position de victime !

    Si consciemment vous savez qu’il y a des solutions pour voir la vie autrement ou pour dépasser des blocages ou des blessures en vous mais que malgré tout, vous ne faites rien pour aller dans ce sens, vous êtes alors dans une position de « victimisation ».

     

    C’est-à-dire que vous continuez à vous plaindre et à porter « toute la misère du monde », vous radotez et racontez toujours la même chose aux personnes que vous croisez, vous cherchez à vous faire plaindre et à être reconnu comme une personne qui souffre.

     

    ‘’ Aussi surprenant que cela puisse paraître, vous y trouvez un avantage. Sinon vous ne le feriez pas. Il ne vous reste qu’à trouver cet avantage, pour vous en libérer, si vous le souhaitez !’’

    C’est donc une absence de choix volontaire de votre part de vous en sortir. C’est dur, mais c’est ainsi ! Si vous changez, vous perdez vos avantages ! C’est donc une volonté de vous-même de rester dans votre passé, dans cette situation passée, c’est une volonté de continuer à souffrir alors que vous pourriez ne plus souffrir et faire de votre vie ce que vous souhaitez véritablement qu’elle soit.

     

    Psychologie positive‘’ C’est pas si simple que ça ! » me direz-vous. ET je vous dirais que oui, ce n’est pas toujours si simple que ça. Mais très souvent c’est aussi simple que de faire un choix ! Pas plus compliqué !! Mais avez-vous seulement essayé ? Ne serait-ce qu’une fois de mettre en place TOUT ce qui est en votre pouvoir pour faire changer ce qui ne convient pas dans votre vie ? Vraiment tout essayé ?’’

     

    Mea-culpa bien-sûr, c’est pour la plupart du temps inconscient et cela échappe à notre volonté… Apprenez à mettre de plus en plus de conscience dessus. Demandez-vous quels sont les avantages à rester dans la situation dans laquelle vous êtes ou alors quelles seraient les conséquences au fait de faire autrement. Voyez ce que vous ressentez… Ce que cela vous fait… Vous tomberez probablement sur une peur. Et c’est cette peur, pour ne pas l’affronter, qui vous maintient dans ce contexte.

     

    Il y a donc un véritable choix à faire ! Sans quoi, rien ne peut se faire vraiment, tout simplement parce que vous ne le voulez pas vous-même ! Et personne ne peut vous y obliger. C’est peut-être aussi parce que vous vous dîtes que les choses ne sont pas si mal que ça…. Mais sachez que cela s’appelle du renoncement cette fois-ci. Renoncer à se donner le meilleur. C’est une satisfaction « bas de gamme », une résignation, c’est le syndrome de la médiocrité !!

     

    La première étape du changement pour plus de bonheur est l’envie de changer et d’être heureux. C’est un véritable choix en conscience qui implique des actes.

    Tant que ce choix n’est pas fait, rien ni personne ne peut vous aider. Vous continuerez à ressasser, à vous plaindre et à trouver des excuses sur votre situation actuelle.

     

    Conclusion

    Si au fond de nous, nous avons tous cette intime conviction de savoir ce que nous voulons au fond, de savoir ce que nous aimerions faire, ou encore ce que nous sommes venu faire sur cette terre, très peu d’entre nous sont réellement capables de s’écouter pleinement.

    C’est pour cette raison que la vie nous guide sous la forme d’événements qui nous poussent à faire des choix et à nous réorienter. Elle nous montre tout ce qui est nécessaire pour nous. Tout ce dont nous avons besoin pour nous rapprocher continuellement de nous-même pour être plus heureux(se).

    C’est en cela que la vie nous veut du bien. Ce qui nous arrive n’est pas une punition, bien au contraire, cela nous permet véritablement de grandir, de progresser, d’apprendre, de nous trouver, de mettre en place dans nos vies ce qui à du sens pour nous…

     

    ‘’ La vie ne nous laisse pas faire ce qui n’est pas bon pour nous. Il faut apprendre à lui faire confiance et à comprendre ses messages.’’

     

    Alors, écoutons les messages de notre « meilleure amie », j’ai nommé la vie. Elle nous veut du bien et nous guide pour atteindre le bonheur.

     

     

             

             


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